Deux bergers s'entredisant :
Courons adorer l'enfant,
Qui vient de naître vraiment
Pour finir notre misère,
Allons-y donc, mon compère,
Allons-y donc gaiement.
Courons adorer l'Enfant,
Allons-y donc gaiement,
C'est le Dieu du firmament
Le créateur de la terre
Allons-y donc, etc.
C'est le Dieu du firmament
Allons-y donc gaiement,
Portons-lui quelque présent,
Afin qu'il nous soit prospère,
Allons-y donc, etc.
Portons-lui quelque présent
Allons-y donc gaiement,
Et faisons-lui compliment
Nous ferions mal de nous taire.
Allons-y donc, etc.
Et faisons-lui compliment
Allons-y donc gaiement,
Sur son saint avènement
Qui nous est si salutaire
Allons-y donc, etc.
Sur saint avènement
Allons-y donc gaiement,
Lui demander humblement
D'un cœur droit, pur et sincère.
Lui demander humblement
Allons-y donc gaiement,
Un parfait amendement
Du mal qu'on a pu lui faire,
Allons-y donc, etc.
Un parfait amendement
Allons-y donc gaiement
II est doux, il est clément,
II est bon et débonnaire
Allons-y donc, etc.
II est doux, il est clément
Allons-y donc gaiement
II nous aime tendrement
Puisqu'il s'est fait notre frère.
Allons-y donc, etc.
II nous aime tendrement
Allons-y donc gaiement
Pour réussir sûrement
Adressons-nous à sa Mère,
Allons-y donc, etc.
Pour réussir sûrement
Allons-y donc gaiement
Promettons-lui fermement
De l'aimer comme un bon Père,
Allons-y donc, mon compère,
Allons-y donc gaiement.
3 fois 20 paquets carott, cé 30 pou moin, 30 pour doudou moin. Augusta ma fi, aidé matante-ou, moin kaï pôtè an ti lozi ba-ou.
Moin té ka décen-ne en ville, La riviè Blanche barré moin.
Si ce pa té mussieu Sébatien, la riviè-a té ké
néyé moin.
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